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Un Bonaparte fondateur du FBI ! Au début du XXe siècle, sous la présidence de Theodore Roosevelt, les États-Unis rêvent de devenir une social-démocratie. Parmi les artisans les plus en vue de cet ambitieux projet, figure le propre petit-neveu de Napoléon Ier : Charles-Joseph Bonaparte, né en 1851, petit-fils de son frère Jérôme, lequel avait épousé une Américaine de Baltimore. Devenu avocat dans cette ville après des études de droit à Harvard, animé de la passion de l'intérêt général et du service public, Charles-Joseph entend contribuer à rendre la société américaine plus juste et la nation américaine plus forte, deux objectifs qui, à ses yeux, vont de pair. Son destin le rattrape. Devenu Ministre de la Marine, il veut doter son pays d'une des premières flottes de guerre du monde. Puis Ministre de la Justice, il combat les abus des trusts et fonde ce qui deviendra le fameux FBI. Rendu à la vie civile, mais toujours agitateur d'idées, il plaide, dès 1914, en faveur de l'entrée en guerre des États-Unis et déplore en 1919, deux ans avant sa mort, la faillite prévisible d'une paix fourvoyée. Catholique fervent et patriote américain sans état d'âme, il demeure fidèle à son nom mais ne prête que peu de considération à ses ancêtres, portant même quelque mépris au culte napoléonien. Il reste néanmoins à ce jour le dernier des Bonaparte à avoir exercé de hautes responsabilités gouvernementales.