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Pour avoir volé dans les vestiaires, Julie a été renvoyée du lycée. Elle ne dit rien à ses parents. Ça tombe bien puisqu'on est à la veille des petites vacances et que la famille s'embarque à cette occasion pour le Périgord, où Charles, le père, un mythomane porté sur le whisky, a l'intention d'ouvrir un restaurant de nouilles. Malgré les protestations de Lou, la mère de Julie, qui préfère rester à Paris fumer des herbes et lire Proust, la famille s'embarque dès le lendemain. En dehors des bagages habituels, chacun emporte avec lui son secret : Charles, un mystérieux billet signé Dominique et qui lui donne rendez-vous à Sarlat ; Lou, du haschisch et un sac de rancœurs contre son mari ; Julie, un détecteur de métaux grâce auquel elle projette de glaner sur les rives de la Dordogne les gourmettes égarées par les estivants. Ainsi s'engage ce roman, un des plus drôles et des plus féroces qui soient. Il se déroule tout entier sous le regard de Julie, qui est à la fois gouaille, intransigeance et dérision. C'est elle qui parle, élucubre, dissèque et déraille, avec un brio et une verdeur de ton qui font irrésistiblement songer à la Zazie de Raymond Queneau. Une Zazie des années 80, auprès de laquelle sa glorieuse aînée, parfois, fait presque figure d'enfant de chœur...