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« Ceux qui tombent » est une rêverie intime, poétique et dansée dans laquelle s'évade Ophélie. Ses pensées redonnent vie à Pierre, celui qui n'a jamais vraiment été là. Puis d'autres figures du passé ou de son imagination surgissent - comme des miroirs d'elle-même - et perturbent le récit qu'elle tente de livrer au public. Ophélie paraît perdre pied, sombrer dans la folie, se perdre dans ses rêves et ses illusions. Son témoignage revêt cette fonction de guérison, comme un fil tissé entre elle et le monde. « Ceux qui tombent » est un texte qui parle des moments en creux. Ceux qui sont laissés vides par nos sociétés modernes effrénées. Comme si ces moments de passage – fin de quelque chose, début d'autre chose – n'étaient plus rendus concrets, habités par du lien, des mythes, des rituels, comme par le passé. sOphélie vit dans un temps où la maladie, la souffrance et le deuil restent cachés, confinés et interdits. Comme si notre culture avait oublié ce temps du deuil pour lui préférer un temps plus rapide, plus extérieur aussi. Car peut-être si nous nous arrêtons une seconde de courir – après le travail, le temps, nos obligations, notre argent – nous tombons. Dans le vide, le rien, l'oubli, la désocialisation.