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Georges Jean se propose comme à l'écoute de toutes choses, dans le présent, le souvenir, l'imaginaire, l'intemporel, en soi. Cette chose sans nom est aussi une lecture et un sentir continus de tout ce qui se présente à son éveil, à une investigation faite, semble-t-il, par le poète, soit les yeux mi-clos, soit à partir de longues plongées en lui-même. Georges Jean nous transmet ainsi sa scène intérieure — ou ce qu'il regarde, ou ce qu'il a vu. Il contemple et revit tout le vécu, et tout est redécouvert par nous grâce à ce qu'il expose. On ne trouvera pas seulement là une « recherche de cohérence », mais un voyage dans tout ce qui est donné, prédit, dans tout ce dont le poète est averti. Mais, de la référence intérieure, Georges Jean passe aisément à l'observation. Par le simple constat, en suivant le goût d'une grâce très humaine, Georges Jean nous ouvre un monde habitable, et si l'angoisse y subsiste, elle est comme musicalisée, orchestrée selon le vœu d'une secrète plénitude, jusque dans l'affrontement avec la mort. Même l'hallucination, quand elle se produit, est maîtrisée. Cette lecture du monde, d'états d'âme, cette écoute profonde, nous touchent. C'est un apaisement qui domine le mystère et l'inquiétude, le goût d'aller plus loin dans la perfection du destin, des notations de vie rapides, éléments qui font repartir le moteur et le cri. Harmonie, signification, réussite. « Cette chose sans nom » est le septième recueil de poèmes de Georges Jean, après « Pour nommer ou Les mots perdus », aux éditions Saint-Germain-des-Prés. Chez le même éditeur, il va publier un nouvel essai, « Lectures de la poésie ou La parole du silence ».