Bedankt voor het vertrouwen het afgelopen jaar! Om jou te bedanken bieden we GRATIS verzending aan op alles gedurende de hele maand januari.

Afhalen na 1 uur in een winkel met voorraad
Gratis thuislevering in België
Ruim aanbod met 7 miljoen producten

Bedankt voor het vertrouwen het afgelopen jaar! Om jou te bedanken bieden we GRATIS verzending aan op alles gedurende de hele maand januari.

Afhalen na 1 uur in een winkel met voorraad
Gratis thuislevering in België
Ruim aanbod met 7 miljoen producten

Winkels

Verlanglijstje

Winkels

Verlanglijstje

Zoeken

Volg ons op

Wist je dat er in Vlaanderen voor iedereen een Standaard Boekhandel is binnen een straal van 7 km?

Zoek een winkel

€ 22,00

+ 44 punten

Levering 1 à 2 weken

Eenvoudig bestellen

Veilig betalen

In januari gratis thuislevering in België (via bpost)

Gratis levering in je Standaard Boekhandel

Omschrijving

On aura beau admettre que l'erreur est humaine, on aura toujours raison de se révolter contre l'erreur politique, de s'étonner de la sottise manifestée par certains de nos gouvernants, de leurs gaffes, bourdes et lapsus qui déconsidèrent autant leur personne que leur fonction.

Cette sottise, quand elle nous est contée par un homme qui connaît le sujet sur le bout des doigts, devient un monument, un phare, une épopée. Elle peut atteindre au sublime quand les hommes de pouvoir ont l'infirmité de se croire quelque chose. Dans cet ouvrage, André Santini, grand décrispateur du monde politique, critique féroce mais juste des élus, ses pairs, met à jour, au-delà de très nombreuses anecdotes, les mécanismes qui permettent de telles erreurs :

- une surprenante méconnaissance des dossiers :

- une certaine bureaucratie :

- une trop grande confiance des élus envers des technocrates tout-puissants :

- une coupable légèreté, parfois, dans l'attribution des fonds publies.

André Santini recense toutes ces énormes bévues d'hommes politiques, de droite comme de gauche, choisies dans des époques et dans des aires géographiques et culturelles différentes. Il démontre ici le caractère universel de la bêtise, seule Internationale à pouvoir survivre à l'effondrement des idéologies.