Les décompensations, les épisodes dépressifs et les T.S qui me conduisent à l'hôpital, arrivent 9 fois sur 10 avec la fin d'un texte. Bien souvent le point final me fait l'effet d'un uppercut, il me laisse littéralement KO. Soudain, je ne sais plus rien faire, ni changer une ampoule, ni ouvrir une lettre, ni nettoyer mes chiottes. Je deviens un véritable bon à rien. Je finis généralement ici, où je vois assez d'horreurs pour écrire un nouveau roman. Je prends des notes. Mon moral remonte. Je gagne en vitalité. Il est temps que je sorte. Je commence un travail, je m'investis, je vais mieux et ainsi de suite.
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