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François Richaudeau poursuit ici sa quête des ressorts psychologiques à la base de l'écriture des textes… et de leur lecture. Mais c'est une quête qui se veut objective, basée sur la mesure et l'analyse de 30 000 phrases, prélevées rigoureusement chez 26 grands auteurs et, plus spécialement, chez ceux figurant sur cette couverture. On apprend que la phrase moyenne de Simenon est quatre fois plus courte que celle de Proust ; ce qui ne nous surprend pas. Mais on découvre que cette phrase moyenne de Proust, est plus courte que celle du « Discours de la méthode » de Descartes. Et, surtout, la méthode d'analyse permet de révéler les ressorts cachés des écritures. Proust savait-il que sa plus longue phrase était celle traitant de l'homosexualité ? Giono, des sensations ? Céline que, d'une œuvre à l'autre, la longueur de ses phrases augmentait systématiquement ? Flaubert pressentait-il que, sur le plan de la lisibilité, ses phrases seraient encore des modèles plus d'un siècle après ? Au terme de cette recherche considérable, François Richaudeau en vient à penser que si nous sommes libres de ce que nous voulons écrire, nous ne sommes pas libres de la façon de l'écrire.