J'appelle paysages le corps des pays et les pays sont inépuisables. Toutes les variantes sont possibles et inimaginables.
Les pays écrasent, rabotent, caressent, nourrissent ou enchantent.
On les perd, on ne s'y retrouve plus, on les vomit, on les fuit, on les pleure, on les désire, on les attend, on les rumine et on les rêve.
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