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Que désigne-t-on par l’anglicisme « cancel culture » ? S’agit-il seulement d’une « culture de l’effacement », selon la francisation recommandée par l’Académie française ? L’histoire de la cancel culture depuis son émergence dans les mouvements progressistes américains de défense des minorités, mise en perspective dans une histoire plus large de la censure des opinions et des oeuvres, permet de comprendre les dangers qui menacent aujourd’hui, en France, le débat d’idées et l’art. L’expression « cancel culture » peut bien avoir un usage polémique, elle n’en décrit pas moins une réalité : celle d’une culture de la censure qui est en train de s’instaurer sous nos yeux au nom des meilleures intentions.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Hubert Heckmann est maître de conférences en langue et littérature françaises du Moyen Âge à l’université de Rouen. Il est agrégé de lettres et normalien. Ses recherches portent sur la poésie épique, la littérature et l’anthropologie.
COLLECTION « LE POINT SUR LES IDÉES » DIRIGÉE PAR JEAN SZLAMOWICZ De plus en plus, les sciences humaines sont convoquées comme arbitres des débats idéologiques et politiques. Dans le même temps, philosophie, histoire, sociologie ou linguistique semblent secouées par l’émergence de nouvelles thématiques qui se confondent avec des revendications catégorielles ou militantes. Quelle est la portée intellectuelle de ces concepts qui ambitionnent de changer le monde ? Pour « s’orienter dans la pensée », selon la formule de Kant, il faut se fonder sur un savoir. Cette collection propose au lecteur une réflexion de qualité, exposant avec précision les fondements des sciences humaines afin de les mettre en rapport avec l’actualité des idées.