Boulevards des Maréchaux
« Je pense à Blondin. Si ce petit voyage me tenait à coeur, c'est aussi à cause de lui. Plusieurs fois, il m'avait raconté l'ébauche de l'esquisse du plan d'un roman qu'il avait envie d'écrire. Un clampin débarque de sa province, échoue sur les Maréchaux, en fait le tour et se prend pour l'un et l'autre, au gré des comptoirs où il pose le coude. Blondin est mort sans avoir écrit ce roman, je ne voulais pas mourir sans lui avoir rendu cet hommage en faisant le petit tour de mes songeries impériales. »
« À le deviner ainsi, parcourant ces kilomètres qui remontent l'histoire impériale, on imagine Tillinac, mains dans les poches, l'oeil faussement distrait comme un chat qui serait un matou bourru, provincial mais élégant. » Jean-Claude Souléry, La Dépêche du Midi.
« Cent vingt-huit pages sur le trente et un d'une prose alerte restituent les treize heures de marche pendant lesquelles l'auteur passa en revue Soult, Lannes et Masséna, au coin d'un café ou d'un McDo, entre les tapineuses et les épiciers arabes. » Bernard Morlino, L'Express.
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