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Bella ciao, cest un chant de révolte, devenu un hymne à la résistance dans le monde entier En sappropriant le titre de ce chant pour en faire celui de son récit, en mêlant saga familiale et fiction, réalité factuelle et historique, tragédie et comédie, Baru nous raconte une histoire populaire de limmigration italienne. Bella ciao, cest pour lui une tentative de répondre à la question brûlante de notre temps : celle du prix que doit payer un étranger pour cesser de lêtre, et devenir transparent dans la société française. Létranger, ici, est italien. Mais peut-on douter de luniversalité de la question ?
Dans troisième tome, Teo, le narrateur, poursuit le récit familial, que ses souvenirs en marabout dficelle restituent en autant dhistoires vives et hautes en couleur, tragiques ou comiques. Celle de sa grande frousse quand il allait porter la gamelle à son père au pied des hauts fourneaux, dans le vacarme assourdissant des tuyères et la chaleur étouffante de la coulée. Celle de la morra, sans doute le jeu de mains le plus vieux du monde, qui se joue à deux et qui, immanquablement, se termine en castagne ! Celle de Domenico, le grand-père de Teo, qui pouvait passer de longs moments, assis sur sa chaise, à contempler leau du robinet couler dans lévier. Celle encore où il est question des garibaldiens de lArgonne et dun certain Lazzaro Ponticelli, devenu Lazare après sa naturalisation en 1939, qui fut pendant quelques mois le dernier poilu de 14-18 encore vivant et, à ce titre, reçut lhommage de la Nation !