Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
D'attaquant tonitruant à « Tony truand », Tony Vai- relles n'a jamais laissé indifférent. Gamin de l'AS Nancy-Lorraine, légende du RC Lens, plus gros salaire français du championnat à l'époque de Lyon, buteur vedette à Bastia... Il reste, aussi, un joueur complètement à part dans l'histoire contempo- raine de l'équipe de France de football avec ses longs cheveux blonds, ses origines gitanes et son look de rockeur américain au milieu des champions du monde1998.Tony Vairelles, c'est un style inimitable, c'est un par- cours unique, bien au-delà des limites du rectangle vert. L'ancien Bleu a encore fait la « une » de l'actuali- té, une fois ses crampons raccrochés. Rubrique «Faits divers». Mis en examen et incarcéré avec trois de ses frères pour «tentative d'assassinat», en 2011, à la suite d'une fusillade sur le parking d'une discothèque. Le début d'une décennie en enfer pour Tony le croyant, jusqu'à son procès au printemps 2021. Ses cinq mois derrière les barreaux ne sont fina- lement rien, ou si peu, par rapport à toutes ses souf- frances endurées à sa sortie de prison, notamment dans sa si chère famille. Des blessures intérieures qui lui font encore tellement mal, parfois. Mais il y a du Rocky chez Tony, il en faut davantage pour le mettre KO. Toujours debout, le poing levé.