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L’auteur — une femme — reprend tout ce qui a été publié dans la presse, exprimé à la télévision, discuté à l’Assemblée, de janvier 1973 jusqu’aux « présidentielles » de 1974. Des documents. Des commentaires très sobres. Et il faut reconnaître que ces documents — plus de 4 000 coupures de journaux, entre autres — sont plus éloquents que de longs discours. Claude Maillard n’a pas opté pour le pamphlet. Elle ne joue pas davantage les championnes du M.L.F. et si le professeur Milliez a accepté de rédiger pour ce livre une « lettre d’introduction », c’est qu’il l’a trouvé courageux et mesuré, humain et nécessaire. Toute la littérature qui entoure le problème : respect de la vie, âge auquel le fœtus a une existence légale, une âme, une conscience... et qui varie selon les religions ou les caprices de l’économie, ne fait que masquer la réalité d’un problème qui touche à la « métaphysique du sexe » autant qu’à la politique. Car ceux qui en parlent : candidats aux élections, députés, médecins, prêtres, sont en absolue majorité des hommes. Or, aucun homme n’éprouvera jamais l’angoisse dune grossesse non désirée, aucun homme ne connaîtra jamais l’horreur de la recherche du médecin « complaisant ». Et toutes ces théories morales ou théologiques se heurteront toujours à la ferme volonté dune femme qui dit « non » à l’enfant qu’elle ne désire pas. Si aujourd’hui tous admettent que la loi de 1920 est « dépassée », pourquoi tarde-t-on tant à l’abroger ? La réponse, ici, est entre les lignes. Mais aveuglante.