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Interrogée par les journalistes lors de sa nomination comme première auditrice au Concile Vatican II, Marie-Louise Monnet évoque sa naissance et son enfance à Cognac, ses études assurées normalement, selon les habitudes de l’époque. Elle dit alors : « Je suis une femme ordinaire... » Une femme ordinaire, qui sait tirer la leçon de ses racines provinciales, au sein d’une famille ouverte sur le monde, où s’illustrera son frère Jean, le « père de l’Europe », avec qui Marie-Louise aura toujours des liens profonds, l’aidant même à tenir sa maison, à Genève, quand il était secrétaire général adjoint des Nations-Unies. En 1931, alors qu’elle est âgée de 29 ans, elle se rend à Lourdes. C’est le tournant de sa vie, car elle y rencontre la Jeunesse ouvrière chrétienne (JOC) belge, venue célébrer les vingt-cinq ans d’ordination sacerdotale de son fondateur, l’abbé Cardjin. De cette rencontre, où elle découvre « l’apostolat du semblable par le semblable » appliqué au monde ouvrier, la lumière se fait en elle dans la perspective d’une action identique étendue au monde indépendant, celui des classes moyennes, de la bourgeoisie, de l’aristocratie, etc. Commence alors, pour Marie-Louise Monnet, le long parcours qui fait l’objet de ce livre. À travers cette vocation de femme, qui sut trouver autour d’elle des équipes de femmes et d’hommes, le soutien d’évêques, l’appui des Papes, la participation des prêtres et des religieuses, ce sont — décrites « avec amour et passion » — 50 années de la vie de l’Église. Fondatrice, en France, de la J.I.C.F. et de l’A.C.I., elle contribua efficacement au prolongement international de cet effort apostolique : le M.I.A.M.S.I., dont elle fut la première présidente. Acteur et témoin, elle apporte une vision précise — et souvent peu connue — d’une part importante de la vie de l’Église de ces dernières décennies, en France, au Concile, et au plan international.