Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
S'appuyant sur ce qu'a été dans des situations historiques autres, l'autogestion — soit aspiration à la prise du pouvoir par la classe ouvrière, soit modèle de développement pour la classe ouvrière au pouvoir — la recherche présentée dans cet ouvrage a été précisément suscitée par ce que l'auteur nomme le « paradoxe politique du choix algérien de l'autogestion par un pouvoir non prolétarien ». Il ne s'agit donc pas de décrire un phénomène isolé de son contexte, dont l'expression « auto-gestion » ne suffit pas d'ailleurs à rendre compte des différents types. Il ne s'agit pas non plus de dégager les principes d'une théorie de l'autogestion. L'enquête sociologique que l'on lira, n'a pas pour principal objet d'apporter des documents pourtant souvent uniques, car n'ayant fait l'objet que de trop rares attentions. Mettant à nu une société concrète, en l'espèce sous-développée, à caractéristiques historiques, sociales et mentales particulières, il nous est proposé, à travers la description et la mise en relation constante de l'autogestion industrielle algérienne avec la société qui l'a vue naître et l'a revendiquée — « l'autogestion exprime la volonté des couches laborieuses du pays à émerger sur la scène politico-économique et à se constituer en force dirigeante » — de définir à la fois l'une et l'autre, de dégager les lignes de force par lesquelles, de 1962 à 1965, elles ont évolué l'une par l'autre.