Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Tracer le panorama de l'apologétique à l'âge classique n'est pas chose facile, tant sont multiples les perspectives philosophiques et diverses les formes littéraires. La tentation est alors grande d'aligner les monographies. Le colloque de Metz (16-18 octobre 2008), dont sont issues les contributions du présent ouvrage, a choisi d'appréhender cette diversité foisonnante et mouvante en la soumettant à une unique approche, la question du croire. Tenant de l'imaginaire et du rationnel, la foi manifeste l'ambition de réaliser la synthèse du sentiment et de la raison. La théologie pascalienne de la grâce fournit des éléments de réponse pour faire cohabiter ces deux principes, constituant le matériau dont d'innombrables apologies se nourriront pendant plus d'un siècle. De 1650 à 1802, de Pascal à Chateaubriand, en contexte catholique comme en contexte protestant, la réflexion est inlassablement reprise sur la possibilité de rendre raison de sa foi à autrui, comme le demande saint Pierre (1 P 3, 15), alors que les progrès de l'histoire, de l'exégèse biblique ou des sciences de la nature en renouvellent les conditions. Mais peu à peu le sujet s'affirme comme la preuve première: son expérience de la foi, le témoignage qu'il en rend, l'espace de parole qu'il ouvre à l'autre, pour mettre ses idées en débat et engager un possible dialogue, sont les nouveaux moyens de la persuasion et de la conversion.