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Jacques Spitz, qui s’était fait connaître en publiant, avant que la mode s’en mêle, des romans d’anticipation : « La Guerre des Mouches » ; « L’Homme élastique » ; « La Parcelle Z » etc., revient à la littérature après un temps de silence. Son nouveau roman : Albine au Poitrail, est l’histoire d’une passion amoureuse. L’évolution des sentiments y est décrite par touches successives donnant les variations d’humeur des protagonistes. Le récit se présente comme une sorte de cantate à trois voix : le journal intime du monsieur ; des jugements a posteriori portés sur ledit journal par le même monsieur ; et enfin des annotations de la dame. Dans cette atmosphère d’intimisme réaliste, les confidences peuvent être d’une franchise peu usuelle. La phase déclinante de l’amour l’emportant sur la phase ascendante, on dirait que l’auteur s’est plu à présenter un numéro de strip-tease sentimental. Et le document peut prendre place au dossier des rapports hasardeux que l’homme doit entretenir avec ce fantôme qu’est la femme.