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Adèle Le Bouteiller : un prénom et un nom prédestinés, comme son nom de religion, sœur Marthe. Elle est demeurée « adèle », c’est-à-dire « obscure », toute sa vie. Née en 1816, entrée chez les sœurs des Écoles chrétiennes de la Miséricorde, fondées par Marie-Madeleine Postel, elle s’occupa essentiellement du cellier, des bouteilles de cidre à remplir, à servir, à nettoyer. Confinée dans l’office de « Marthe », de 1855 à sa mort en 1883, elle fut pourtant progressivement l’objet d’une rumeur, qui ne cessa de s’amplifier après sa mort, une rumeur de « sainteté ». La voici en passe d’être béatifiée. Cette vie est alertement racontée par Michel Clévenot, qui s’est pris d’affection pour son humble héroïne. De surcroît, à travers sa biographie, il fait renaître sous nos yeux le XIXe siècle des « bonnes sœurs » – femmes méconnues, de haute spiritualité, puisée aux meilleures sources (François de Sales, Fénelon) et de grande présence aux démunis de leur époque. Il renouvelle aussi le genre littéraire de l’hagiographie, la biographie des saints.