Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
« Des bruits. Ni ma voix, ni mon rire, mais des sons insupportables, parasites, bourdonnements, crissements, bruits de cascades, d’éboulements, de moteurs. Des acouphènes. Des sons inventés par l’oreille. En permanence, jour et nuit, et encore plus quand elle ferme les yeux.Je n’ose pas demander à maman ce qu’elle ressent. J’ai cherché dans le dictionnaire. Acouphènes : “Sensation auditive perçue en l’absence de tout stimulus extérieur.” Faux bruits, fausse blonde, faux bijoux. Une maman en toc, une fille en miettes. » G. M. Un matin, la mère de Géraldine se réveille sourde, avec des bruits plein la tête. Seul espoir, la cortisone, mais le traitement la rend obèse. Pour Géraldine, enfant unique délaissée par son père, c’est le début d’une adolescence difficile. Comment s’épanouir, partagée entre l’envie de protéger une mère qu’elle admire et la haine envers cette femme qui l’ignore et lui fait honte ?
Prime Time : « Une plume incisive. » Marie-Claire Une rose pour Manhattan : « Les pages, taguées de mots d’une rare efficacité, étonnent et séduisent.» Le Parisien Trois jours pour rien : « Un beau talent d’écriture.» Le Magazine littéraire