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Henri Monier nous conte ses souvenirs. S’il ne s’attarde guère à ses « premiers pas » dans l’existence — encore que ce qu’il nous en dit est plein de saveur et de drôlerie — c’est que visiblement il a hâte de parler de ses amis (et aussi... des autres), de ses trente ans passés dans les coulisses du journalisme parisien. Et, bien entendu, c’est d’abord « le Canard Enchaîné » auquel Henri Monier collabore depuis 1919 (il venait alors d’avoir dix-huit ans), que celui-ci fait revivre pour notre joie : les débuts modestes dans l’appartement de son directeur Maurice Maréchal, l’installation rue Louis-le-Grand et sa succursale : le café du Cadran. — ce qui nous conduit tout naturellement à « l’Œuvre », de Gustave Téry, « l’enfant terrible des journaux de cette époque ». Henri Monier fait défiler devant nous, avec malice, mais sans méchanceté, les vedettes de la presse de l’entre-deux-guerres (sans oublier pourtant ses cadets) ; il nous fait participer à la vie des salles de rédaction, à leur travail et aussi à leurs farces ; il nous promène dans Paris, avec une tendresse marquée pour les « originaux » qu’on y peut rencontrer, et aussi hors Paris, avec quelques gais compagnons, là où il fait bon boire et bien manger. Tour à tour témoin et acteur, Henri Monier a écrit un livre sans prétention, un livre de bonne humeur et de bonne santé, où les anecdotes, les portraits et les mots abondent. Le plaisir que visiblement Henri Monier a pris à évoquer ses souvenirs, anciens et récents, le lecteur ne peut manquer de le partager : il trouvera dans ces pages, la verve, l’humour, l’indépendance, la vigueur du trait et le mouvement qui ont fait la renommée d’Henri Monier dessinateur. En outre, A BATON ROMPU est copieusement illustré par les amis d’Henri Monier : Becan, Bib, Cabrol, Ferjac, Gassier, Grove, Guilac, Laforge, Oberle, Sennep, Seoul, Serge, et par lui-même.