Alors, oui, comme D. H. Lawrence, dans L'Homme qui était mort, a raison de montrer comme le Christ, une fois ressuscité, doit aller en Égypte pour se faire initier aux plus saints mystères par une prêtresse d'Isis - et comme, dans la coulée de la pensée gnostique dont il se réclame, de même que dans celle de Julius Evola (si mal compris de nos jours) ou de Sarane Alexandrian, Paul Sanda fait bien, retrouvant toutes les intuitions du tantrisme de la main gauche, de nous faire souvenir que c'est dans l'acte d'amour que nous pouvons retrouver cet accès à « l'Au-delà de Tout » qui est notre fontaine et notre but.
Michel Cazenave
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