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Le spectacle de Robert Hossein vu par un Anglais : « Devant les trois mille fauteuils du Palais des Congrès de Paris. Robert Hossein fait représenter « Celui qui a dit non », un étonnant et grand spectacle historique, à couper souvent le souffle, avec plus de cent acteurs qui jouent au milieu d’une foule de figurants. » De 1940 à 1945, années de l’exil de De Gaulle et de sa lutte pour son identité et sa suprématie. le producteur-metteur en scène-chorégraphe Robert Hossein (qui travaille dans la tradition d’Orson Welles et d’Eisenstein, mais il n’y en a pas beaucoup d’autres…) contrôle partisans, soldats, politiciens, Français libres, nazis, collaborateurs, communistes, victimes de camps de concentration, et en plus Franklin Roosevelt, pour évoquer l’histoire de la Seconde Guerre mondiale à travers le regard sévère, implacable, intraitable de De Gaulle mais aussi de ceux qui le combattent, qui se battent pour lui ou qui, comme Churchill, Eden et Roosevelt, ne savent jamais ce qu’ils peuvent faire avec cet opiniâtre récalcitrant… « Autour de son vaste auditorium, Hossein plante espions, collaborateurs et militaires armés, de sorte que plusieurs batailles sont en fait livrées hors de la scène et dans la salle… Celui qui a dit non est à la fois une biographie politique, une reconstitution épique de la guerre et une série de réunions de résistants… Tout cela dépasse beaucoup le territoire épique que nous a donné Hollywood jusqu’ici. Son spectacle n’est pas une célébration de De Gaulle dans une envolée de drapeaux… » « Il faut, sans autre discussion et avant toute chose, voir « Celui qui a dit non ». Vous avez jusqu’en février pour prendre l’Eurostar, assister à une matinée et revenir de même. Faites ça à vos risques et périls : c’est exactement ce que le théâtre a toujours voulu être et que jusqu’ici il n’a jamais été. »